Publié le : 06/02/2019 16:00:00
Catégories : Assainissement
Les villes, pour de multiples raisons, ne peuvent plus se permettre de rejeter les eaux pluviales directement au réseau. Elles doivent basculer vers un mode de gestion plus durable pour les eaux de pluie. Les techniques existent, même si toutes ne sont pas encore industrialisées. Le cadre réglementaire aussi, même s’il reste perfectible. Reste la question de la volonté politique qui fait encore trop souvent défaut pour que des techniques soient mise en place.
En milieu urbain, fortement imperméabilisé, l’eau de pluie ruisselle sur les toits et la voirie, se charge en polluants avant de s’engouffrer dans les réseaux. C’est du moins le concept sur lequel reposait la vision “hygiéniste” qui a longtemps prévalu, consistant à envoyer ces eaux, généralement mêlées aux eaux usées, dans les réseaux souterrains pour les rejeter rapidement hors de la ville. Protection de l’environnement et adaptation au changement climatique obligent, la tendance consiste aujourd’hui à infiltrer l’eau de pluie le plus tôt possible dans le sol pour rétablir cycle naturel de l’eau et, si c’est impossible, de la rejeter de manière contrôlée dans le milieu, bien entendu indépendamment des eaux usées
Même si certains acteurs, parmi lesquels de nombreux industriels du secteur, le jugent encore trop flou, le cadre réglementaire français est en fait incitatif. La loi et sur l’eau et les milieux aquatiques de 2006, tout comme les SDAGE et SAGE, poussent en effet dans le même sens : déconnecter au maximum les eaux pluviales du réseau d’assainissement, autrement dit les gérer “à la parcelle”, et contrôler les rejets dans le milieu naturel. Quant aux industriels, qu’ils soient à l’origine plutôt spécialisés dans le drainage, le stockage ou le traitement des eaux de pluie, ils ont senti le vent venir et développent désormais des gammes élargies, comprenant tout à la fois des dispositifs de drainage, de traitement, d’infiltration, le cas échéant de stockage notamment pour contrôler le débit des rejets dans le milieu (voir par exemple EIN 408).
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Pour plus d’information consulté le site de l’eau, l’industrie, les nuisances : https://www.revue-ein.com/article/eaux-pluviales-en-milieu-urbain-favoriser-les-solutions-alternatives